Pendant le confinement (mais pas seulement) la page Facebook de Luc Baba vit au rythme de ses états d’âmes (allez voir ses très belle photos) , mais aussi de ses trouvailles drôles, comme ses « perles », ses exercices de style (chacun est invité à y participer).
Allez voir aussi son blog, qui reprend, en plus du reste, son actualité éditoriale.
Une quinzaine de romans, du théâtre, des nouvelles, de la poésie et des chansons, voilà pour son chemin artistique. Comédien, slameur (finaliste à Paris d’un tournoi international), Luc Baba destine l’essentiel de sa poésie à l’oralité. Il a chanté Brassens, Ferré et Brel. Le spectacle « Brel, ça va. », en compagnie de Christine Bruno et Jean-Marie Dzuba, fut d’ailleurs l’un des points d’orgue du festival de Stavelot en 2004. Professeur d’anglais à mi-temps, il a créé plusieurs spectacles avec des adultes en réinsertion. Luc Baba a signé deux biographies pour enfants, publiées à Paris chez à Dos d’âne, l’une consacrée à Chaplin, l’autre à Brel. En 2002, il a mis en scène son monologue Vierge des pauvres, merci ! et signé en 2015 un hommage aux langues du monde dans le spectacle Tu parles, qu’il a interprété en Belgique et à Paris en compagnie du musicien Quentin Léonard.
Mais c’est en romancier que Luc Baba se définit. Prix Pages d’Or en 2001 dès son premier roman (« La Cage Aux Cris »), finaliste du Prix des cinq continents avec « If », et trois fois finaliste du Prix de la Jeune Critique. Enfin, il est l’auteur d’œuvres engagées, dont « Mon ami Paco », illustré par Marion Dionnet, ouvrage condamnant les centres fermés.
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