Né à Liège, Alain Lallemand nourrit son enfance au bord de l’Ourthe des récits et aventures de Kessel, Kipling et Stevenson. Sa première vie est consacrée à sillonner le monde, à suivre sa vocation de Tintin. Durant plus de trente années de grands reportages, de correspondances de guerre et d’investigations internationales pour Le Soir de Bruxelles et autres médias de Belgique et d’Europe, il produit des centaines de reportages et plusieurs livres d’enquêtes. En zone de guerre, confronté à une vérité plus vaste que la simple addition des faits, Alain Lallemand tâte du récit littéraire (2006) puis de la fiction romanesque (2007). Ses expériences de vie, ainsi que la masse accumulée de photos, croquis, carnets de note et cartes du bout du monde, ont nourri une écriture emphatique et sensorielle, apte à restituer cinq continents peuplés de trafics d’enfants, courtiers en diamants, mineurs d’or ou marchands d’armes, gourous et flibustiers divers. De retour en province de Liège, il partage désormais son temps entre journalisme et littérature.
Bibliographie littéraire :
● « N’oubliez pas le guide », récit, Luce Wilquin, Avin, février 2006.
● « La femme héroïne », roman, Luce Wilquin, Avin, mai 2007.
Traduction néerlandaise : « Heroine en heldinnen », Roularta Books, Roulers, octobre 2008.
● « Ma plus belle déclaration de guerre », roman, Luce Wilquin, Avin, août 2014.
Luce Wilquin, Avin, janvier 2016.
(Finaliste du Prix Cercle Chapel 2016)
(Sélection Prix des Lycéens de Littérature 2016-2017)
(Finaliste du Prix des bibliothèques de la Ville de Bruxelles 2017)
● « Et dans la jungle, Dieu dansait », roman, version revue et augmentée, Livre de Poche, Paris, mars 2020.
● « L’homme qui dépeuplait les collines », roman, JC Lattès, Paris, mars 2020.
(Sélection Grand Prix de Littérature Policière 2020)
- « Ce que le fleuve doit à la plaine », un roman publié en février 2024 aux Éditions Weyrich, à Bastogne.
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